Autel de Notre Dame du saint Rosaire
Vers 1888 , la Fabrique se propose de l'installation d'un nouvel autel dédié à Notre Dame du St Rosaire en remplacement de l'ancien délabré , mais l'argent manque . Les plans et devis réalisés Mr le doyen utilisera quelques revenus d'économies et d'offrandes pour le commencement des sculptures des boiseries . Extrait de la session de Quasimodo de 1889 (Quasimodo est le premier dimanche après Pâques) Mr le doyen tient à consigner dans ce registre (registre de la Fabrique) qu'il a versé au sculpteur Mr Pattein à Hazebrouk qui est venu faire pour le retable et les boiseries,un large acompte de mille francs formé d'économies et d'offrandes spéciales et de ses mises en avance personnelle .La quittance est signée et datée au 19 février .Il faudra s'ingénier pour payer le reste de cette dépense et pour procurer à l'église une chasuble blanche dont elle à grand besoin . Signé : A. Delannoy ,Campion , Vahé , Beaucourt , Pezé .
Réunion du 7 janvier 1900 : On décide de presser l'éxécution de l'autel de la vierge confié à Mr Lefebvre de Beuvry qui en à traçé le plan sur les indications de Mr le doyen . Ce plan est éxaminé ,approuvé de nouveau ,eu même admiré , à cause des médaillons peints sur émail qui le distingueront et seront fournis par la maison Chanterel de Paris ,au prix minimum de 50 francs l'un .
Signé: ..................
Mr Vahé: président du bureau
Mr Campion : trésorier M.M.JB.Beaucourt : membre
Mr Pezé : membre
Le doyen Mr Delannoy
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Séance du 1er juiller 1900 :
Dans cette séance où sont présent M.M les Fabriciens soussignés ,on s'occupe surtout du nouvel autel si imposant qui vient d'être érigé en l'honneur de Notre Dame du saint Rosaire à l'aide des souscriptions de dons volontaires .
Ce travail difficile et compliqué à été confié à Mr Lefebvre ,sculpteur de Beuvry qui est venu avec son fils commencer le montage et les ajustements des pièces du retable le 14 juin dernier .
M?M les Fabriciens sont venus simultanément et en particulier se rendre compte du talent et de l'activité des deux sculpteurs ; ils ont admiré la beauté et le fini des médaillons représentant les mystères du Rosaire peint sur cuivre émaillé ,dont chacune coûtent 50 francs et qui sortent des ateliers Chantrel de Paris .
Le vaste encadrement qui les entoure et couvre le mûr entièrement jusqu'en haut .Le gradin et le marche pied coùtent 600 francs . La porte du tabernacle représentant Ste foy ou Foi coùte 60 francs . 1200 francs ont été payés le 16 juin .
Des pourparlers sont engagés avec Mr bocquet entrepreneur de peinture à Lens à l'effet de restaurer et de décorer l'ancien autel de pierre incrusté dans le mur .
Ce nouveau travail doit avoir lieu incessamment . M.M les Fabriciens ainsi que les fidèles se déclarent satisfaits de ce magnifique monument élevé en l'honneur de la très sainte Vierge ,en cette dernière année du XIX ème siècle .
Signé : Vahé , A. Delannoy , Campion , Beaucourt , Pezé .
(archives paroissiale)
a noter que cet autel fut remplacé par le doyen lotte dans les années 1950-53 .
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Mr Ledru note du 4 aoùt 1864
Note sur quelques peintures murales découvertes dans l'église d'Avesnes le comte .Mr Ledru appelle de nouveau l'attention de ses collègues sur les peintures murales de l'église d'Avesnes le comte par la lecture de la note suivante .
Les personnes d'un certain âge ont pu voir dans l'église d'avesnes le comte décorée de peintures murales dues au pinceau d'un artiste avesnois du nom de Heudes . Ces peintures ont disparu lorsque le dernier doyen Mr Bernard ,substitua à celui qui les supporteraient ,un enduit au plafond dont il recouvrit laface intérieure de l'église jusqu'à la hauteur des fenêtres . La Fabrique dans des vues plus intelligentes vient de tomber l'enduit de Mr Bernard pour rétablir les murailles dans leur état primitif au moyen d'un grattageet d'un rejointoiement qui ne laissent rien à désirer. On alla plus haut et en poursuivant le grattage jusqu'au sommet des voûtes ,on ne fut pas peu surpris à la hauteur des fenêtres et sous l'ancien plâtrage des fragments de peintures du XVI ème siècle . Malheureusement pour faire adhérer au mieux le plâtrage en question ,l'ouvrier dut entailler les pierres à des endroits très rapprochés et occasionner dans les peintures un piquage regrettable qui ne permet plus bien d'en saisir le sens .
Toutefoisaprès un éxamen très attentif nous avons cru qu'il était utile d'en relever autant que possible la représentation .
Déjà en 1855 Mr le doyen en dépatant les voûtes avait trouvé ça et là des traces d'une décoration polyshromatique . Nul doute que ces peintures n'aient été en grande partie grattées à une époque que l'on ne peut préciser ; les chapiteaux de deux colonnes en présentent encore les vestiges bien conservés . Les découvertes rescentes consistent en 3 tableaux situés au côté gauche de l'église ou est la chapelle de la Ste vierge .
Le tableau le plus rapproché de l'autel de la vierge à une étendue d'environ 1,20 m sur 1,30 m de large ,ony remarque deux personnages nimbés ,celui de droite paraît revêtu d'un costume antique de l'ordre civil aves une aumonière au côté ; il présente de la main droite une sorte de coffret surmonté d'une espèce de ciboire ,au personnage de gauche ,ce dernier semble paré d'une tunique recouverte d'arabesque et surmonté d'un camail en damier : un long manipule pend de son bras gauche : il a les mains jointes et parait être un dignitaire ecclesiastique .
A l'époque de la fondation de l'église l'archiduchesse Isabelle Claire Eugénie était souveraine du domaine d'Avesnes le Comte et l'aspect des vêtements de femme qui recouvrent le personnage offrant l'hommage donneraitquelques ressemblance à notre supposition . Le tableau qui vient ensuite est un tombeau sculpté dans le mur et recouvert de peintures ,non seulement sur la pierre mais encore au dessus et alentour . Une main barbare à brisés les belles sculptures de la tombe . On y voit encore toutefois comme une urne surmontée d'une croix et la partie supérieure de deux personnages adossés à cette urne . Ce tombeau est cintré entouré d'un encadrement à fleur du mur et surmonté d'une frise couverte de deux rinceaux ; au dessus de cette frise règne une corniche surmontée d'une attique ; cette dernière partie est en peinture . Dans le fond de l'attique ,le Père Eternel sous la forme d'un vieillard doux et vénérable plane dans un ciel d'or , les yeux fixés vers la terre ,une espèce de tiare couvre sa tête ,un large manteau de pourpre couvre ses épaules et ses plis onduleux se perdent dans quelques nuages d'azur ; ses bras sont tendus en avant comme pour receuillir les pieux personnages qui dorment dans leurs sépultures . Au sommet et aux deux angles inférieurs de l'attique sont poséses des urnes funéraires .
Ce tombeau est évidemment celui de Jeanne Froissier épouse de Hugues de Wignacourt ,seigneur d'Escalus ,gouverneur et bailli d'Arras et d'Avesnes le comte et de sa fille Isabeau de Wignacourt mariéà Jean IV de Morel Tangry ,seigneur d'Escalus . Leur épitaphe gravé sur la tombe à été grattée .
elle à été retrouvée dans les archives (voir les pierres tombales )
(Rapport de Mr Ledru)
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Le chemin de croix
C'est en 1731 sous le règne de Clément XII né en 1642 ,élu pape le 12 juillet 1730 que la permission fut donné de créer des chemins de croix dans d'autres églises que celles des Franciscains .
Benoit XIV en 1741 dut limiter l'extension à un seul par paroisse .
Dans l'église d'Avesnes le Comte ,le chemin de croix est directement scellé dans les murs de pierre de l'église . Son implantation date très certainnement du début du XIX ème siècle .
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Les Banniéres .
Il fut un temps ou les processions religieuses animaient les rues d'Avesnes le Comte ,de petits autels étaient installés de ci de là , le prêtre sous le dais ,les bannières ,les sociétés et la population parcouraient les rues qui raisonnaient sous les cantiques .
Certaines de ces bannières ont été données par les soeurs de la Compassion de la sainte vierge qui dirigeaient l'asile d'Avesnes le comte situé dans la Grande Rue ,la maison de Mr et Mme Proville actuellement .
monstra te esse Matrem
montre toi notre Mère
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Patrimoine extérieur de l'église .
................................. Calvaires
Résumé de la journée du 31 juillet 1887 de l'implantation du calvaire du nouveau cimetière et celui de la place du marché aux bestiaux (place L. Mexandeau )........
Texte original du curé de Givenchy le noble et de Lignereuil ,le maire de l'époque était Mr Deleau Célestin .
Avesnes le comte .
Plantation de deux calvaires .
31 juillet 1887
"Christus vicit , Christus régni ,Christus impérium " Le Christ est victorieux ,le christ règne , le Christ commande .
Telles étaient les inscriptions que chacun pouvaient lire aux principaux arcs de triomphes qui ornaient les rues d'Avesnes le Comte le dimanche 31 juillet ;
C'était vraiment le triomphe du christ . Malgré une renommée d'indifférences plus ou moins méritée ,la population toute entière avait eu à coeur de réhausser la cérémonie par sa présence receuillie et enthousiaste . De toutes les bouches sortaient la même voix : "que c'est beau ! " nous mettons au défi nos libres penseurs en francs maçon d'organiser pareille fête et de soulever dans un même élan , une foule aussi compacte que celle qui escortait le Christ . On peut évaluer en effet , à 3000 personnes tant d'Avesnes que des environs venus pour prendre part à la cérémonie . Grace au zèle et àl'intelligence de Mr le vicaire ,le cortège part se mettre en marche vers 4 heures au son joyeux de la cloche et se diriger vers le cimetière .
Il était juste de coordonner par là ,c'était le voeu de la municipalité dont la générosité avait bien voulu doter le champs du repos d'un magnifique calvaire en même temps que de relever la croix du grand marché . (1) (déjà implanté et réimplanté ce même jour après réparation) Nous ne dirons rien de la décoration des rues : on sait en effet qu'Avesnes à des religieuses dévouées et une institutrice expérimentée (2) dans l'art de bien faire .
Le défilé des différents groupes est particulièrement intéressant . Une sage organisation à présidé à tous les détails .
Voici d'abord l'ange gardien conduisant un petit enfant ,puis la vierge de Lourdes avec une petite Bernadette à la figure douce et candide , les vertus théosophales et cardinales avec leurs attributs symbolique , saint Jean Baptiste escorté d'enfants portant des palmes , des jeunes filles tenant corbeilles de fleurs précédant Notre Dame et son collège apostolique .Puis le défilé s'avance , plus les groupes sont frappant par leur fraîcheur et leur bon goût . Des cavaliers richement costumés ouvrent la marche aux groupes du vendredi saint : insigne de la passion , Notre Seigneur portant sa croix avec une piété et une résignation parfaite , femmes de Jérusalem tenant leurs enfants sur les bras ,statue de Notre Dame de la Compassion (3) sur les épaules de six jeunes filles en costume brillant ,dames voilées et vêtues de deuil .
Notre Dame des sept douleurs avec deux compagnes ,groupe de pleureuses à la tenue modeste et receuillie ,enfin les Madeleines et les docteurs de la loi (groupe fort apprécié). Voici enfin le char de triomphe sur lequel est étendu le Christ du grand marché .
Le conseil municipal tient le cordon ,donnant ainsi en exemple courageux de sa foi et de ses convictions profondément religieux . Comme le parcours est assez long ,les musiciens de la Cécilienne d'Avesnes qui ,en triomphe appelle à suffire pour réssusciter allègrement avec les cantiques et nous montrent que malgré des malentendus regrettables les ont condamnés au silence pendant des années ,ils n'ont pas oubliés leur répertoir religieux et savent encore l'exécuter brillamment .
Mr l'abbé Eugène Deligne ému monte an chaire ,tout les coeurs se portent vers lui ,car il est enfant d'Avesnes et toutes les sympathies lui sont acquises depuis longtemps . Dans une chaleureuse et vibrante allocution ,il félicite et remercie la cité d'Avesnes qui s'est surpassée en ce jour .
Puis considérant Jésus Christ comme loi ,comme juge et comme père ,il développe les deux premières idèes pour en tirer une leçon applicable au présent ,alors que Jésus christ domine de sa voix toutes les vanités du monde qui disparaîssent avec nous dans l'éternel oubli de la mort et une lçon applicable au passé ,en sollicitant les prières de tous en faveur des âmes qui attendent le jour du grand réveil .
L'appel est entendu et pour la première fois un déprofondis est chanté au pied de la nouvelle croix qui abrite les morts .
La procession se remet en marche ,receuillant sur son passage les approbations significatives de la foule massée sur les trottoirs ,foule bien nombreuse que les archers de St Sébastien ont peine à écarter .
Le Christ élevé en croix ,le prédicateur monte en chaire de nouveau ,Jésus Christ est notre père dit -il et quel père ! Par son triple cri de miséricorde et d'amour ,de désespoir et d'abandon ,de consolation et de tristesse ,il nous à prouvé combien il nous chérissait ,comment même dans le découragement il faut espérer en dieu ,et que surement la victoire est acquise aux persévérants.
Une péroraison (4) émouvante termine l'instruction . L'orateur formule un voeu et c'est le voeu le plus ardent de son coeur d'apôtre ; que la croix abrite toujours l'enfance d'Avesnes le Comte ,qu'elle encourage et fortifie l'âge mûr qui combat et souffre ,quelle adoucisse les derniers moments des agonisants ! quelle soit toujours notre force ,notre consolation et notre espérance ! C'est bien le voeu des quinze prêtres qui sont là et qui se dévouent au salut des âmes et surtout de ce vénérable et digne doyen (5) qui depuis trente trois ans honore le sacerdoce à Avesnes et chérit son peuple . Pour lui nous avons dit du pied de la croix ..........
"Ad multos amos " (6) en même temps que nous disions pour la cité d'Avesnes ;
"Proficiat" .
G. Lemichez
curé de Lignereuil et de Givenchy le Noble .
(1) Le calvaire du haut (place L Mexandeau ou marché aux bestiaux) fut implanté en avril 1804 ,remis en état et relevé se jour de 1887.
(2) et (3) Soeurs des d ames de la Compassion de la vierge Marie .
(4) Dernière partie d'un discourt structuré .
(5) Le doyen Lefin ;
(6) Réussite .
Le maire était Mr Deleau Celestin .
calvaire du cimetière calvaire du haut
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Calvaire du grand marché
HUGUES-Robert-Jean Charles LA TOUR D' AUVERGNE
par la miséricorde de dieu et la grâce de St Siège Apostolique ,Evêque d'Arras
Désirant autant qu'il est est en nous favoriser et même augmenter la piété de la dévotion de nos fidèles diocésains ,particulièrement les habitants de la paroisse d'Avesnes le comte et des lieux circonstanciers avons accordé et accordons par cette présente une indulgence de quarante jours à tout ceux et celles qui vraiment conscient et repentant de leurs fautes ,visiteront le calvaire nouvellement implanté dans cette commune et y réciterons cinq fois le Pater et l'avé Maria pour les fonts ordinaire de l'église ,les dimanches , mercredis et vendredis de chaque semaine ,comme aussi quarante jours d'indulgence à ceux et celles qui chaque jour de la semaine étaient au dit calvaire faire leurs prières du matin et du soir ,les présents valable pour sept ans .
Donné à citer sous la signature de notre vicaire général ,grand archidiacre d'Arras ,notre sceau et le contre sceau de notre secrétaire ,l'an de grâce de Notre Seigneur Jésus Christ 1804 ,le vingt deux juin trois messidor an douze de la République Française. DELAUNE vicaire général grand archidiacre
Par mendement CREPIEUX-SEER .
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Avril 1804 ,lettre du vicaire général d'Arras autorisant l'implantation du calvaire du "grand marché" à Avesnes le comte .
Hugues -Robert-Jean Charles LA TOUR D'AUVERGNE par la miséricorde de dieu et la grâce du St siège Apostolique Evêque d'Arras .
Vu la pétition du maire et du curé de la commune d'Avesnes le comte ,arrondissement de St Pol tendant à obtenir l'autorisation de faire planter une croix en l'endroit ou il éxistait autrefois une dans la dite commune et d'y placer un christ .
Vu l'arrêté de Mr le Prefet du département du Pas de Calais qui permet l'implantation du calvaire ,confirmons par cette présente la permission à la condition expresse que le Christ qu'on se propose d'attacher à cette croix ne représente rien de difforme et de ridicule qui puisse prêter à des propos et qu'il sera sculpté selon l'art ce qui devra être constaté par le certificat du curé de cette paroisse que nous commétons pour faire bénédiction et la plantation du calvaire dont il s'agit .
ARRAS le 28 avril 1804 8 floréal an XII.
FRELANT Vicaire Général
par mandement Mgr l'Evêque d'Arras .
(documentations personnelle)
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Chapelle Notre Dame de Lourdes
Construite en 1930 par les soins de Mr et Mme Martin -Alpi ,cette chapelle disparue
aujourd'hui se trouvait en bordure de la route de St Pol sortie d'Avesnes le Comte sur la gauche ,de là partait un petit chemin qui rejoignait le calvaire de Beauffort .
Elle fut condamnée après la proposition de relèvement de la route de St Pol .
Dédiée à Notre Dame de Lourdes ,sur son fronton figurait les vers suivants
"si le nom de Marie en ton coeur est gravé,en passant souviens -toi de lui dire un Avé"
C'est la formule qui ornait la très ancienne chapelle Notre Dame (1) qui était située au petit chemin de Manin .
(1) sur le chemin de Manin ,vis à vis le bois d'Avesnes ,à peu de distance du jeu de paume ,s'élevait une belle chapelle très fréquentée et fort en vénération dans la contrée . Elle fut détruite en 1793 et à laissé son nom au canton qui lui confine .
(De Mr Ledru )
chapelle notre Dame
(photo voix du Nord)
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